Affections diasporiques

Journal curatorial

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Il faut accepter que l’art se crée entre les lieux, entre les langues, entre les médiums, on dirait « en chemin ». Elles ne sont que de passage, en expansion au contact d’autres, dans l’élaboration d’une communauté à venir. Ce curating est sans domicile fixe.

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Ces récits qui nous forment

À propos de nos Affections diasporiques

par Nicholas Dawson

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Vivre dans une diaspora, c’est « [t]o have one’s belonging lodged in a metaphor […]; to inhabit a trope; to be a kind of fiction » écrit Dionne Brand. C’est « to live as a fiction […]. It is to be a being living inside and outside of herself. » (2002, p. 19)

Un sujet diasporique, c’est un sujet qui se définit par ce qu’il a à raconter, c’est un sujet qui se raconte, qui fait usage des stratégies de la fiction pour faire le récit de ses lieux, de sa mémoire, de ses relations, de ses généalogies, de ses cultures, de ses langues et de ses émotions. 

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Playlist collective

Partagez vos chansons d’amour pour bonifier la liste de lecture collective liée à l’exposition.

Chansons à la mémoire d'être aimé·e ou de relations amoureuses, chansons sur le désir, sur l'envie d'être aimé·e, etc.

Co_respond
_dance

par Francisco-Fernando Granados et Nicholas Dawson

Consultez la correspondance complète de près d’un an entre l’artiste et le commissaire, inclue dans l’oeuvre studies in minor abstraction (2025).